Entre réalisation de clips, campagnes publicitaires, pochettes d'albums ou encore photographie de mode Julot Bandit n’a aucune limite.
Il compte parmi ses travaux les pochettes d’albums de Sarh, du groupe Lily Wood & The Prick et du rappeur Travis Scott. C’est chez lui, dans son appartement du 18ème qu’il nous reçoit, accompagné de son chat.
Bonjour Julot, peux-tu te présenter en un son ?
Pour faire simple « Dans ma rue » de Doc Gyneco, étant donné que j’ai vécu et grandi dans le 18ème.
Peux-tu nous décrire ton intérieur ?
J’aime l’esprit Atelier avec un mélange d’ancien et de moderne. J’aime le fait que ça vive.
Tu te lèves ou tu te couches en musique ?
Quand j’étais au lycée, je me levais tous les jours sur « A change is gonna come » de Same Cooke, c’était l’intro de l’album REUNION de Capone N Noreaga. Je savais qu’en entendant ce son j’allais passer une bonne journée (malgré mes notes et les heures de colle).
En rentrant de soirée, j’aime bien un petit « Elle » de Sebastien Tellier, ça fait toujours son effet.
Quelle place à la musique dans ta vie? dans ton activité ?
Elle a une place importante dans mon travail. J’adore faire des pochettes d’album du coup je travaille avec beaucoup d’artistes aux univers très différents. J’aime l’idée de représenter l’univers d’un album en une seule photo. Le son et l’image sont très liés.
Pour moi la musique c’est 50% de son et 50% d’image.
Le son que tu écoutes mais que tu n’assumes pas ?
Mario, « Let Me Love You », je ne l’assume plus du tout.
Que t’inspire le design des radios Charlestine ?
J’aime l’élégance d’une radio rétro combinée à un système audio moderne et à la fonction Bluetooth. Ca fait du bien de revenir un peu aux bases et de ne pas chercher à tout prix le coté trop épuré que l’on a actuellement. C’est un peu comme en photo finalement, on revient de plus en plus aux bases.
Où a-t-elle trouvé sa place dans ton intérieur ?
Dans mon bureau, ce qui est plutôt cool pour elle vu que c’est l’endroit où je suis le plus chez moi.
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